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Dialogue tripartite des sociétés civiles chinoises, européennes et latinoaméricaines Dialogue tripartite des sociétés civiles chinoises, européennes et latinoaméricaines

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Cette première rencontre s’inscrit dans deux perspectives : la poursuite des activités du Forum Chine-Europe ainsi que le « momentum » de Rio+20 qui doit permettre aux différentes sociétés civiles de jouer un rôle actif de propositions et de co-responsabilité.

 

Les trois parties à l’initiative du dialogue s’accordent sur l’importance de mettre les acteurs de la société civile en mouvement, d’identifier des défis communs et de travailler sur le long terme en s’appuyant sur Rio+20 comme point de départ.

 

II – Objectif de la journée

 

Le fort intérêt qui nourrit la dynamique du dialogue tripartite provient de sa démarche novatrice mais surtout de la volonté et de l’opportunité d’apprendre à mieux nous connaître dans nos diversités. Le but est également de construire ces échanges en donnant une plus grande visibilité à la dynamique du dialogue tripartie, notamment à la société civile chinoise et à son action sur le plan international.

 

Cette première rencontre permet de construire les bases d’un climat de confiance entre les acteurs des trois sociétés civiles. Il s’agit de poser, dans un cadre multiculturel, des constats et des principes partagés qui nous permettront d’avancer dans la voie du dialogue.

 

III – Convergences

 

Les différences économiques, sociales et culturelles entre les trois parties n’ont pas empêché de partager le constat de l’aggravation de la crise environnementale, et le fait que les plus pauvres et les plus vulnérables en subissent davantage les conséquences.

 

En outre, la question de la protection écologique a été abordée dans ses liens intrinsèques avec la protection sociale. L’enjeu de l’éradication de la pauvreté constitue le défi premier auquel l’humanité doit faire face. Au-delà d’une réponse planétaire, nous avons besoin d’une approche multi-acteurs pour affronter ces défis. Cela doit se faire notamment grâce au renforcement des liens sur le terrain entre les sociétés civiles et les autorités locales et, au niveau national, par une meilleure prise en compte des positions et actions des organisations de la société civile.

 

IV – Feuille de route

 

Nous devons poursuivre le dialogue tripartite afin de mieux nous connaître. Le renforcement des liens entre les acteurs de la société civile venus d’horizons différents nous permettra d’améliorer davantage notre action sur la sphère internationale. Cela implique notamment : (1) nourrir les échanges de bonnes pratiques et technologiques et (2) des séjours et des immersions culturelles et professionnelles entre les trois parties prenantes du dialogue.

 

Les représentants de trois parties prenantes réunies à Paris actent la mise en place d’une structure informelle de coordination du dialogue tripartite. Ce noyau dur est pour le moment constitué par l’Association 4D, l’Association Chinoise pour la coopération des ONG (CANGO), le Forum Chine-Europe (FCE), IBASE, le Forum pour une Nouvelle Gouvernance Mondiale (FNGM) et la «One Fondation».

Il s’agit d’ici la Conférence Rio+20 d’élargir ce noyau dur. L’objectif étant d’avoir 5 (cinq) organisations représentantes de chaque partie prenante au sein de la structure du dialogue tripartite.

Dans un premier moment, les échanges entre les membres du noyau dur se feront notamment grâce à Internet et les réseaux sociaux.

 

Un deuxième temps de rencontre des trois parties prenantes aura lieu au mois de juin à Rio de Janeiro dans le cadre d’au moins deux activités :

  • Un side-event à Rio Centro (TBC par les Nations Unies) ;
  • Une activité autogérée au Sommet des Peuples.

 

Il s’agit désormais de rendre ce dialogue audible lors de Rio+20. A noter que le 19 juin se tiendra à Rio+20 le « Chinese Day » ce qui représente une opportunité pour soutenir davantage les démarches des acteurs de la société civile chinoise.

Un compte-rendu des activités du dialogue tripartite, y compris la rencontre à Rio de Janeiro sera publié à l’automne 2012.

Afin d’inscrire le dialogue tripartite dans le long terme, les membres réunis à Paris ont convenu d’adopter un cadre thématique. Celui-ci permettra d’approfondir une thématique annuelle à travers notamment des cas d’études sur les réalités économiques, sociales et sociétales de chaque partie prenante afin de nourrir et développer une compréhension mutuelle pour ensuite poser des principes et propositions partagés.

Chaque thématique annuelle permettra la publication d’un rapport qui sera publié et traduit au moins en trois langues : chinois, espagnol et français.

 

Pour l’année 2012, les membres ont convenu de traiter la thématique suivante : « éradication de la pauvreté dans le cadre des sociétés durables ». La publication du rapport de la thématique annuelle aura lieu au printemps 2013 et pourra être accompagnée d’une rencontre des trois parties prenantes en Chine.

 

 

Cette première rencontre s’inscrit dans deux perspectives : (1) la poursuite des activités du Forum Chine-Europe (http://www.china-europa-forum.net/) ainsi que (2) le « momentum » de Rio+20 qui doit permettre aux différentes sociétés civiles de jouer un rôle actif de propositions et de co-responsabilité.

Les trois parties à l’initiative du dialogue s’accordent sur l’importance de mettre les acteurs de la société civile en mouvement, d’identifier des défis communs et de travailler sur le long terme en s’appuyant sur Rio+20 comme point de départ.

II – OBJECTIF DE LA JOURNEE

Le fort intérêt qui nourrit la dynamique du dialogue tripartite provient de sa démarche novatrice mais surtout de la volonté et de l’opportunité d’apprendre à mieux nous connaître dans nos diversités.

Le but est également de construire ces échanges en donnant une plus grande visibilité à la dynamique du dialogue tripartie, notamment à la société civile chinoise et à son action sur le plan international.

Cette première rencontre permet de construire les bases d’un climat de confiance entre les acteurs des trois sociétés civiles. Il s’agit de poser, dans un cadre multiculturel, des constats et des principes partagés qui nous permettront d’avancer dans la voie du dialogue.

 

 

 

III – CONVERGENCES

Les différences économiques, sociales et culturelles entre les trois parties n’ont pas empêché de partager le constat de l’aggravation de la crise environnementale, et le fait que les plus pauvres et les plus vulnérables en subissent davantage les conséquences.

En outre, la question de la protection écologique a été abordée dans ses liens intrinsèques avec la protection sociale. L’enjeu de l’éradication de la pauvreté constitue le défi premier auquel l’humanité doit faire face.

Au-delà d’une réponse planétaire, nous avons besoin d’une approche multi-acteurs pour affronter ces défis. Cela doit se faire notamment grâce au renforcement des liens sur le terrain entre les sociétés civiles et les autorités locales et, au niveau national, par une meilleure prise en compte des positions et actions des organisations de la société civile.

IV – FEUILLE DE ROUTE (NOYAU DUR, RIO+20, THEME ANNUEL)

Nous devons poursuivre le dialogue tripartite afin de mieux nous connaître. Le renforcement des liens entre les acteurs de la société civile venus d’horizons différents nous permettra d’améliorer davantage notre action sur la sphère internationale. Cela implique notamment : (1) nourrir les échanges de bonnes pratiques et technologiques et (2) des séjours et des immersions culturelles et professionnelles entre les trois parties prenantes du dialogue.

Les représentants de trois parties prenantes réunies à Paris actent la mise en place d’une structure informelle de coordination du dialogue tripartite. Ce noyau dur est pour le moment constitué par l’Association 4D, l’Association Chinoise pour la coopération des ONG (CANGO), le Forum Chine-Europe (FCE), IBASE, le Forum pour une Nouvelle Gouvernance Mondiale (FNGM) et la «One Fondation».

Il s’agit d’ici la Conférence Rio+20 d’élargir ce noyau dur. L’objectif étant d’avoir 5 (cinq) organisations représentantes de chaque partie prenante au sein de la structure du dialogue tripartite.

Dans un premier moment, les échanges entre les membres du noyau dur se feront notamment grâce à Internet et les réseaux sociaux.

 

 

 

Un deuxième temps de rencontre des trois parties prenantes aura lieu au mois de juin à Rio de Janeiro dans le cadre d’au moins deux activités :

  • Un side-event à Rio Centro (TBC par les Nations Unies) ;

  • Une activité autogérée au Sommet des Peuples.

Il s’agit désormais de rendre ce dialogue audible lors de Rio+20. A noter que le 19 juin se tiendra à Rio+20 le « Chinese Day » ce qui représente une opportunité pour soutenir davantage les démarches des acteurs de la société civile chinoise.

Un compte-rendu des activités du dialogue tripartite, y compris la rencontre à Rio de Janeiro sera publié à l’automne 2012.

Afin d’inscrire le dialogue tripartite dans le long terme, les membres réunis à Paris ont convenu d’adopter un cadre thématique. Celui-ci permettra d’approfondir une thématique annuelle à travers notamment des cas d’études sur les réalités économiques, sociales et sociétales de chaque partie prenante afin de nourrir et développer une compréhension mutuelle pour ensuite poser des principes et propositions partagés.

Chaque thématique annuelle permettra la publication d’un rapport qui sera publié et traduit au moins en trois langues : chinois, espagnol et français.

Pour l’année 2012, les membres ont convenu de traiter la thématique suivante : « éradication de la pauvreté dans le cadre des sociétés durables ». La publication du rapport de la thématique annuelle aura lieu au printemps 2013 et pourra être accompagnée d’une rencontre des trois parties prenantes en Chine.

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